Libéré ce mardi 17 décembre, le militant écologiste Paul Watson a révélé dans une interview vouloir se rendre au siège d’Interpol à Lyon en ce début d’année.
Incarcéré depuis le mois de juillet au Groenland, le militant écologiste et fondateur de Sea Shepherd a été libéré ce mardi 17 décembre.
Il était détenu par les autorités danoises en raison d’un mandat international émis par le Japon. Il est accusé d’avoir perturbé l’activité d’un baleinier japonais et blessé un membre de l’équipage en 2010, durant une action contre la chasse à la baleine.
Dans un entretien accordé à Libération, il a partagé son intention de se rendre au siège d’Interpol, situé à Lyon, pour se « confronter directement à l’organisation policière mondiale » dès le début de l’année 2025. Selon lui, « Interpol ne peut continuer à abuser » de la notice rouge émise par le Japon à son encontre.